Un article très intéressant, que je recommande à tous!
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k108758/f7.image.langFR
En particulier, il est intéressant de noter:
-Que les tournois n'étaient pas forcément bien vus. Même par la noblesse et le souverain.
-Qu'une très faible proportion de la noblesse la pratique, et que la majorité des pratiquants étaient de "faible niveau".
-Que les bons combattants sont subtils, ne se reposent pas sur la force ou l'endurance, notamment à la hache et à l'épée. Les autres correspondent à ce que Liechtenauer appelle des buffles, ou ce que Fiore appelle des paysans.
-Qu'à pied les épées sont utilisées quasiment exclusivement en estoc contre les faiblesses d'armures, les haches elles sont utilisées de taille et d'estoc.
-Qu'un combat singulier ne s'arrete pas quand l'un est à terre... Ils peuvent toujours se relever.
-Que les coups d'épée sont comptés. Vu les "scores", il semblerait que "coup" soit synonyme de "touche".
-Que les armures d'époque, ce n'est pas de la camelote, vu les gnons qu'ils se prennent.
-Que frapper du poing ou du pied, c'est mal vu, c'est "se battre comme des femmes." (Olivier De La Marche)
-Que Jacques de Lallaing, c'est Jacques Delamorkitu.